Category: Conseils

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Quel est le profil du locataire à Bruxelles en 2023 ?

Face à la hausse des prix de l’immobilier et des taux d’intérêt, l’accès à la propriété se corse dans notre Plat Pays, et en particulier à Bruxelles. L’indice de performance énergétique (PEB) du bien est devenu un critère de choix pour les propriétaires. Les biens dotés d’un bon PEB s’arrachent comme des petits pains, et acheter une maison ou un appartement correctement isolé à un prix accessible devient de plus en plus compliqué… Résultat : le bruxellois reste locataire plus longtemps, et le marché de la location se porte bien. 

Cette tendance favorable aux propriétaires pousse nombre d’entre eux à se retrouver face à une multitude de candidats-locataires dès l’annonce de leur bien publiée. Mais pourquoi une telle demande ? Et comment décrire le profil du locataire bruxellois actuel ?  

Bruxelles VS ailleurs

En Belgique

En comparaison avec les autres régions du pays, Bruxelles-Capitale est celle qui compte le moins de propriétaires occupant leur logement (38,81%, contre une moyenne nationale de 66,17% d’après Statbel). C’est donc à Bruxelles que l’on trouve le plus de logements mis en location… Et donc le plus de locataires.  

La difficulté d’accès à la propriété est particulièrement prononcée à Bruxelles par rapport aux autres régions de notre pays. Et cette pression sur le logement existe aussi dans le secteur de la location. D’après le dernier baromètre des locations de la Fédération des agents immobiliers francophones de Belgique (Federia), le prix moyen des loyers à Bruxelles a augmenté de 4,2% en 2022. Il est aujourd’hui estimé à 1.154 €, contre 759 € en Wallonie (tous types de logements confondus).

En Europe

Au niveau européen toutefois, notre capitale n’est pas si mal lotie. D’après une étude récente menée par HelloSafe,  Bruxelles semble même être la capitale d’Europe de l’Ouest avec les loyers les plus abordables en 2023. Avec un prix médian de 765 € pour le loyer d’un studio dans le centre-ville, notre capitale se trouve bien en-dessous d’Amsterdam (1700€), Paris (1250€) ou même Barcelone (1000€). 

Part du logement dans le budget des ménages 

Quid de la part que pèse le logement dans le budget d’un ménage ? D’après Statbel, il représente toujours l’une des principales dépenses dans les ménages belges, avec 31,8% en 2020 (incluant le loyer, l’eau, l’énergie, l’entretien et d’autres frais). Les propriétaires et les agences immobilières estiment généralement qu’un loyer ne doit pas dépasser 35% du salaire net du locataire, ce qui représente environ 1/3 de ses ressources. 

Mais le Belge dépense-t-il plus pour son loyer que ses voisins européens ? Il semblerait que non : d’après HelloSafe toujours, la Belgique se situe à mi-chemin par rapport à ses voisins quant à la pression sur le loyer. Entre le Luxembourg (avec 37,4% du budget dédié au loyer) et la Lettonie, où elle est la plus faible de l’Union Européenne (avec seulement 16% du budget du ménage dédié au loyer).

Locataire à Bruxelles : portrait-robot

Vous vous demandez quel est le profil-type du locataire bruxellois ? Personne âgée en solo, jeune diplômé célibataire, couple marié avec enfant ou encore famille monoparentale : on a passé au crible la composition des ménages pour dessiner le type de locataire le plus courant dans notre capitale.

Les 3 principaux profils de ménage 

Selon les chiffres de Statbel, on peut distinguer trois types de locataires à Bruxelles, en se basant sur la composition des ménages.

1. En solo : une tendance croissante

Les ménages d’une personne représentent 47,1% des ménages bruxellois (contre une moyenne nationale de 35,9%).

Leurs caractéristiques : 

  • Ces ménages occupent ou recherchent généralement des biens de moindre superficie (studios, appartements une ou deux chambres maximum). 
  • Ils sont concentrés sur les zones les plus urbaines et n’occupent ou ne recherchent généralement pas de maisons. 
  • Cette constitution de ménage croît avec l’évolution sociologique de notre société. 

De nombreux facteurs peuvent expliquer la part croissante des ménages composés d’une seule personne. On fonde une famille plus tard, les schémas familiaux évoluent, la vie active est allongée, on vit plus longtemps… 

Comme l’explique la sociologue Marie-Thérèse Casman au micro de la RTBF en avril 2023, « Le mariage est de plus en plus tardif et les divorces de plus en plus fréquents. Pourtant, le mariage était l’une des raisons principales pour laquelle une personne quittait le cocon familial. Beaucoup vont vivre seul tout un temps et on peut même avoir une vie de couple tout en vivant chacun chez soi, ce qui fait qu’on est répertorié comme un ménage isolé ». 

Selon cet article toujours, le groupe le plus important des personnes vivant seules est celui des 65 ans et plus. En cause ? L’allongement de l’espérance de vie et les progrès médicaux qui permettent aux personnes âgées de rester autonomes plus longtemps. 

2. En famille : des profils variables

Les couples mariés avec enfants représentent 17,9% des ménages bruxellois, contre une moyenne nationale de 18,9%.

Leurs caractéristiques : 

  • Selon les cas, ces couples disposent d’un ou deux revenu(s).
  • Ce chiffre concerne les couples mariés. Mais il ne faut bien sûr pas oublier la proportion de couples non-mariés avec enfants, qui est en constante progression (hausse de 31,9% entre 2013 et 2023 à Bruxelles). 
  • Le type de logement occupé ou recherché dépend du nombre d’enfants et des revenus. 

3. Parent solo : en augmentation

Les familles monoparentales représentent 11,6% des ménages bruxellois, contre une moyenne nationale de 9,9%.

Leurs caractéristiques :

  • Bruxelles connaît depuis dix ans une importante augmentation du nombre de familles monoparentales (+10,3% depuis 2013). 
  • Le type de logement occupé ou recherché dépend du nombre d’enfants à charge et des ressources dont dispose le parent.

Quid de la colocation ? 

Vivre seul reste coûteux, raison pour laquelle de nombreux jeunes travailleurs se tournent vers la colocation. Selon la Société du logement de la Région bruxelloise, en 2018, 11% des logements bruxellois étaient loués en colocation. Et ce mode de vie est de plus en plus attractif pour les jeunes et moins jeunes. Et pour cause : face à l’augmentation des prix des loyers, de l’énergie et de l’alimentation, l’union fait la force !

Locataire bruxellois : faire fi des a priori

Face à ces chiffres, le constat est clair : le marché de la location bouillonne. Le paysage locatif actuel fait de toute évidence la part belle aux ménages solo, qui constituent une écrasante majorité dans notre capitale. Les familles monoparentales quant à elles représentent un modèle de plus en plus fréquent. En tant que propriétaire, il faut donc être conscient des évolutions constantes de notre société. Le locataire idéal d’aujourd’hui n’est plus celui d’hier. Et c’est ce qui fait la force d’une ville qui bouge !

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La taxation des loyers réels, ce n’est pas pour tout de suite !

Les propriétaires investisseurs qui redoutaient un changement de leur régime fiscal peuvent se rassurer. La taxation des revenus locatifs réellement perçus n’a pas été retenue dans ce premier train de mesures, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2024.

La fiscalité reste donc très favorable aux bénéficiaires de revenus locatifs privés en Belgique. Mais reprenons au début : comment les revenus locatifs sont-ils taxés actuellement ? Et pourquoi la vaste réforme fiscale prévue par le gouvernement inquiétait-elle le secteur immobilier ?  

Taxation des loyers réels : état des lieux

Aujourd’hui, en Belgique, la personne physique propriétaire d’un bien et qui le met en location à une personne physique n’est pas taxée sur le montant des loyers réellement perçus, mais sur un montant équivalent à 140% du revenu cadastral indexé de son bien. 

Qu’est-ce que le revenu cadastral ? 

  • Le revenu cadastral (RC) est un revenu fictif égal au revenu annuel moyen net qu’un immeuble procurerait à son propriétaire. Ce montant correspond donc à la valeur locative moyenne nette d’une année du bien, à un moment de référence.
  • En Belgique, ce moment de référence est le 1er janvier 1975.
  • Selon la loi, le RC doit être réévalué tous les 10 ans par péréquation cadastrale. Or, la dernière péréquation remonte à 1980, sur la base des revenus locatifs de 1975. À défaut de réviser les revenus cadastraux, l’Etat indexe automatiquement le RC en fonction de l’indice des prix à la consommation en vigueur (1,863 en 2022).
  • Le RC indexé est calculé au niveau fédéral. Il représente le montant à indiquer dans la déclaration d’impôt des personnes physiques. 
  • Le précompte immobilier (PI) est l’impôt que le propriétaire est invité à payer directement à l’administration fiscale de la région dans laquelle le bien immobilier est sis.

Constat : ce système de taxation basé sur un revenu cadastral datant de 1975 est de toute évidence très avantageux pour le propriétaire, qui se retrouve imposé sur une base bien plus faible que celle qu’il perçoit en réalité.

Attention : la taxation à hauteur de 140% du RC indexé ne s’applique qu’aux revenus locatifs de biens à usage privé. Il est possible que le gouvernement cible bientôt les locataires qui déduisent tout ou partie de leur loyer comme frais professionnels. Leurs propriétaires seraient alors indirectement impactés.

Que redoutaient les investisseurs ? 

Depuis 2022, la vaste réforme fiscale prévue dans notre royaume a fait couler beaucoup d’encre. La principale vocation de cette réforme ? Réduire la charge fiscale sur le travail. Et pour cause : la taxation des salaires en Belgique figure parmi les plus élevées du monde. 

Le but de la réforme n’est pas de diminuer les recettes fiscales de l’Etat, mais bien d’en déplacer la charge, notamment vers le patrimoine. La taxation des loyers réels s’est dès lors retrouvée dans le viseur du ministre des Finances Vincent Van Peteghem. 

L’intention du ministre consistait à :

  • Aller vers une taxation généralisée des loyers privés, voire d’une taxation systématique des plus-values immobilières.
  • Ne plus taxer les biens immobiliers sur une base forfaitaire (comme c’est le cas avec le revenu cadastral), mais bien sur base du revenu réel au taux de 25%.
  • Instaurer la déductibilité des frais. Soit sur base d’un régime forfaitaire de 30%, soit sur base des frais réellement engagés. 

Le résultat : fausse alerte !

Début mars 2023, le ministre des Finances Vincent Van Peteghem a donc présenté sa très attendue note de réforme fiscale. Concrètement, elle contenait 25 mesures ayant pour but de déplacer la charge fiscale de 6 milliards d’euros. 

Excellente nouvelle pour les propriétaires : la taxation des loyers réels ne se trouve pas dans ce premier volet de la réforme. Les mesures non retenues devraient faire l’objet d’une deuxième phase de la réforme, sous une prochaine législature et donc à charge d’un prochain gouvernement. 

Mais alors, quelles mesures sont d’application ?

Aujourd’hui, il y a un consensus pour qualifier la réforme fiscale d’échec. On est bien loin des ambitions du début de la législature. Aucune des mesures ayant finalement fait l’objet d’un consensus politique ne concerne les revenus immobiliers pour les bien situés sur le territoire national.

Notre régime fiscal a une brique dans le ventre

Une chose est certaine : si on compare la Belgique aux autres pays de l’Union européenne, le régime fiscal est extrêmement favorable aux propriétaires investisseurs.

C’est bien connu, le Belge a une brique dans le ventre. Selon une enquête menée en 2020 et 2021 par la Banque nationale de Belgique, 72% des ménages belges sont propriétaires de leur logement. Et plus d’un propriétaire immobilier résidentiel sur six possède au moins une maison ou un appartement en plus de son habitation, à titre d’investissement ou comme résidence secondaire. Rien d’étonnant donc à ce que notre système fiscal prenne soin des propriétaires investisseurs. 

Si la fiscalité est aussi avantageuse pour les bénéficiaires de revenus locatifs, c’est avant tout parce que ces derniers échappent à une triple taxation : la taxe sur les loyers réellement perçus, une péréquation qui aurait eu pour conséquence une augmentation du revenu cadastral ainsi que la non-taxation des plus-values lors de la revente, dans la grande majorité des cas. 

Et si de telles mesures entraient en vigueur ? 

Instituer une taxation des loyers privés sur base des loyers réellement perçus aurait son lot de conséquences. 

  • Pour le propriétaire, qui subirait une pression fiscale accrue et double, avec :

Une explosion de son précompte immobilier (qui pour l’instant, on le rappelle, est calculé sur base du RC)
Avec une augmentation de la pression fiscale sur les loyers eux-mêmes.

  • Pour le locataire : si les propriétaires sont davantage taxés, il est fort probable que les loyers augmentent.
  • Pour les administrations fiscales, qui se verraient attribuer la lourde tâche de contrôler les loyers et dépenses réelles. Un travail titanesque qui demanderait du renfort de personnel. 
  • Pour l’évolution du marché en lui-même, sur un plan macro-économique. Ces dernières années, la chute des taux d’intérêts hypothécaires a poussé beaucoup de Belges à investir dans des biens immobiliers destinés à la location. Or, dans leurs calculs, ils ont pris en compte une faible taxation des revenus. Quid si cette taxation augmentait ? Bon nombre d’investisseurs se verraient contraints de revoir leur stratégie d’investissement.  

Pourquoi investir dans l’immobilier en 2023 ?

Outre ces avantages fiscaux qui font de la Belgique une terre de choix pour les propriétaires investisseurs, la période est également propice à investir dans la brique. On vous détaille les perspectives pour le marché immobilier en 2023 dans cet article. 

Vous hésitez à sauter le pas ? Contigo vous accompagne et vous conseille sur les biens qui valent vraiment la peine de s’y intéresser.  Avec une solide expérience dans le secteur, Contigo Immo se positionne aujourd’hui comme l’allié des investisseurs désireux de faire de leur acquisition immobilière un atout durable.

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La gestion technique d’un immeuble en location

Vous êtes le seul propriétaire d’un bâtiment dont vous mettez les appartements en location ? Cet article vous concerne ! En effet, en tant que propriétaire, vous êtes tenus d’effectuer toute une série de tâches, allant de la gestion administrative complète à la mise en conformité de vos installations en passant par la vérification technique, ou les réparations éventuelles. Le but : mettre à disposition de vos locataires un bien en bon état, certes, mais aussi techniquement conforme, avec lequel vous ne risquez aucun souci ni réclamation de la part de vos locataires.

Si la gestion locative de manière générale est une mission globale, qui débute avant la mise en location de votre appartement et se termine lorsque les locataires ont quitté les lieux, elle comprend plusieurs formes de gestions qui se centrent, elles, sur les points d’attention particuliers d’une location. Gestion administrative, gestion financière, gestion de l’entretien et… gestion technique. Cette dernière est très certainement la plus complexe à appréhender. Pourquoi ? Et en quoi consiste exactement cette forme de gestion ?

En quoi consiste la gestion technique d’un bâtiment ?

Si vous êtes propriétaire de l’ensemble d’un bâtiment comprenant moins de 19 appartements, vous savez qu’une copropriété et donc la présence d’un syndic n’est pas obligatoire. Il en résulte donc que vous êtes le seul maître à bord pour la gestion de votre immeuble. Et la gestion technique est souvent assez chronophage car elle comprend une série de missions qu’il convient de traiter souvent rapidement.

Entretenir le bien

Depuis la réforme de la loi sur les baux à loyer de 2007, l’état des lieux d’entrée et l’état des lieux de sortie sont désormais des documents obligatoires qui doivent être enregistrés à l’état, annexé au contrat de bail. L’état des lieux d’entrée, qui peut être dressé soit par le propriétaire en présence du locataire, soit par un expert externe en présence des deux parties, doit se faire avant la nouvelle occupation du bien ou endéans le premier mois de location maximum. Grâce à ce document, locataire et propriétaire sont assurés de démarrer l’aventure sur les mêmes bases et d’avoir pris connaissance, ensemble, de l’état actuel du logement.

A partir de ce point de départ, comme le rappelle très justement « Bruxelles Logement », il appartient bien évidemment à votre locataire d’entretenir correctement le bien mis à sa disposition et selon l’état dans lequel il se trouve. C’est-à-dire que le locataire n’est en aucun cas dans l’obligation d’effectuer des réparations de dégâts qui préexistaient avant son arrivée. Il doit maintenir le bien en bon état et effectuer les réparations locatives nécessaires, conformément à l’usage pour lequel il le loue. Le service public mentionne, par exemple, le ramonage des cheminées ou encore l’entretien de la chaudière et des appareils de détartrage et adoucisseurs d’eau.

Mais, de votre côté, en tant que propriétaire, vous êtes également chargé d’entretenir votre bien en bon père de famille et de prendre donc en charge toutes les autres réparations qui n’incombent pas au locataire comme le nettoyage périodique des garde-corps de la terrasse, le contrôle de l’ascenseur, etc. (pour en savoir plus)… Le rôle de votre locataire, à ce moment-là, sera évidemment de vous avertir de tout problème, nécessité de réparation ou survenance d’un dégât.

Effectuer les réparations de vétusté ou de force majeure 

Votre locataire a une fuite d’eau dans l’appartement : qui fait quoi ? Qui paye quoi ? Le sujet des réparations dans un logement loué peut être un sujet sensible car très généralement discutable selon les cas, les situations et la relation que locataire et propriétaire entretiennent. Pourtant, la loi est stricte : les réparations qui résultent de la vétusté et de la force majeure ne peuvent jamais être à charge du locataire.

Les réparations qui sont à la charge du propriétaire concernent donc bien l’usure normale du bien et de ses équipements, ainsi que celles qui seraient nécessaires à la suite d’un sinistre qui touche l’ensemble de votre bien et pour lequel vous avez souscrit une assurance. Pensons notamment à la toiture, dont les tuiles ou les ardoises ont pu être arrachées à cause du vent, aux panneaux photovoltaïques, qui seront sans doute de plus en plus souvent installés, mais qui peuvent, eux aussi, être endommagés, ou encore une infiltration d’eau au niveau des solins… Des réparations peuvent également s’avérer indispensables au niveau des canalisations, de l’installation électrique ou encore du bâtiment même.

Les réparations mineures comme le changement d’une ampoule électrique ou le remplacement d’un filtre de hotte de cuisine, par exemple, sont évidemment à la charge de votre locataire. Tout comme les réparations dues à une mauvaise utilisation de vos installations ou à un mauvais entretien.

Même si les choses semblent assez claires, reprenons l’exemple de la fuite d’eau. Votre locataire vous appelle pour vous signaler une fuite sous l’évier de la cuisine. Selon la loi, c’est à vous de vous en occuper car, a priori, le problème résulte d’une usure normale du bâtiment. De votre côté, en revanche, vous savez que vous avez changé vos tuyaux de canalisation l’année dernière et qu’ils sont donc en parfait état. Alors à qui la faute ? Pour résoudre le problème, ce sera bien à vous d’en chercher l’origine : la canalisation est-elle bouchée ? À cause de qui et de quoi ? Le problème vient-il bien de l’appartement en question ? En fonction de la réponse, vous pourrez alors évaluer à qui revient la facture finale pour les réparations. 

Suivre les travaux 

Qui dit entretien et réparation, dit également suivi des travaux. A nouveau, vous allez devoir faire preuve de disponibilité. En effet, une fois le défaut signalé, en tant que propriétaire et gestionnaire du bâtiment, vous devrez gérer les demandes de devis, vous devrez choisir les différents prestataires et surtout, vous assurer que les travaux sont effectués correctement et dans le respect des délais convenus.

Faire appel à un service de gestion locative 

La liste des tâches à réaliser vous donne le tournis ? Vous pensez ne pas disposer de suffisamment de temps ni de compétences pour suivre assidûment ces différentes obligations et les demandes régulières de vos locataires ? Vous avez peur de les mécontenter en n’agissant pas assez rapidement sur un problème et donc de les faire fuir ? Vous ne trouvez pas de corps de métier qui accepte d’intervenir pour une petite intervention ?

Dans ce cas, faites appel à un service de gestion locative. Concrètement, nous sommes l’interlocuteur direct des locataires qui peuvent s’adresser à nous en cas de problème. Résultat : une tranquillité d’esprit pour eux comme pour vous ! Nous prenons le relai pour toutes les charges essentielles à la gestion technique de votre immeuble. Notre grande disponibilité nous permet alors d’assurer une réparation rapide, évitant ainsi une amplification du problème. Vous souhaitez en savoir davantage sur notre service de gestion locative, rendez-vous ici. Et si vous êtes déjà convaincus, contactez-nous ici.

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Un sinistre dans un bien loué : qui paye la facture

Que l’on soit propriétaire ou locataire, un sinistre dans une habitation et sa gestion peuvent constituer un véritable défi. Il s’agit de remplir un certain nombre de procédures administratives, tout en conservant son sang-froid tout au long du processus. Par quoi commencer ? Comment être certain de n’avoir rien oublié ? Contigo.Immo, spécialiste de la gestion locative, vous livre ses astuces pour entamer les démarches en toute sérénité.

En cas de sinistre, qui est responsable ? 

Dans cet article, nous exclurons d’emblée les sinistres provoqués par des éléments extérieurs, comme des conditions climatiques extrêmes, qui font l’objet de dispositions bien spécifiques. Concentrons-nous sur les dommages les plus courants : murs abimés, débuts d’incendie ou inondations provoquées par le dysfonctionnement d’un appareil électroménager… Autant de cas de figures redoutés par les locataires, tout comme les propriétaires qui voient leur habitation ou leur bien endommagé.

En cas de sinistre, il convient, dans un premier temps, de s’interroger sur la responsabilité du dommage, sur la remise en état du bien ainsi que sur l’imputation des frais de remise en état des dommages. Différents cas de figure peuvent se présenter à vous :

  1. Le locataire est responsable du sinistre et seule son habitation est endommagée ? C’est à lui de prendre les réparations en charge et de faire intervenir son assurance habitation si nécessaire.
  1. Le locataire est responsable du sinistre et le bâtiment est touché en tout ou en partie ? C’est au propriétaire à entreprendre les travaux de remise en état des lieux. Sa compagnie d’assurance se retournera ensuite contre le responsable du sinistre.
  1. Le locataire n’est pas responsable du sinistre ? Le propriétaire est chargé de remettre les lieux en état et de faire intervenir sa propre compagnie d’assurance.

En théorie, la question de la responsabilité semble aisée. Et pourtant, il arrive que le propriétaire et le locataire ne soient pas sur la même longueur d’onde dans la mesure où aucune des parties ne souhaitent reconnaître sa responsabilité dans le dommage. Dans ce cas, elles devront toutes deux remettre une déclaration de sinistre à leur compagnie d’assurance respective qui réaliseront une expertise et analyseront ensemble le dossier pour établir, avec objectivité, la responsabilité éventuelle de chacune des parties.

Comment procéder en cas de sinistre ? 

En cas de sinistre, il est souhaitable, tant pour le bailleur que pour le locataire, que le bien soit remis en bon état dans les plus brefs délais. Pour ce faire, il convient, tout d’abord, d’entreprendre les mesures conservatoires et de déclarer le sinistre auprès de sa compagnie d’assurance afin qu’elle désigne un expert. Dans un second temps, il sera nécessaire d’obtenir des devis auprès d’entrepreneurs et de spécialistes de la construction afin de les soumettre à la compagnie d’assurance avant de désigner le ou les prestataires qui seront chargés des travaux. En tant que propriétaire, suivez le chantier de réparation du sinistre avec attention : assurez-vous que les travaux soient réalisés conformément à ce qui a été convenu avec l’entrepreneur et dans les délais impartis.

Tout au long du processus, une bonne communication entre le bailleur et le locataire est essentielle. En effet, chacune des parties vit une situation exceptionnelle, plus ou moins éprouvante. Si les locataires doivent évidemment se montrer disponibles et ouverts, en tant que propriétaire, veiller également à rester à leur écoute.

Notre conseil : anticiper 

En tant que propriétaire, vous avez le droit de demander à votre locataire la preuve de souscription d’une police d’assurance incendie. Comme le rappelle le site Belgium.be, ce type d’assurance « offre une couverture contre les dommages subis par votre habitation et le mobilier qu’elle contient. » Une disposition prise par le législateur impose par ailleurs aux locataires de Flandre et de Wallonie de se munir d’une telle assurance lorsqu’ils signent un contrat de bail. Inondations, incendie, dégâts qui se propagent à d’autres biens que le vôtre, vous serez ainsi assuré d’être indemnisé pour remettre votre bien en pristin état, même s’il a été touché par un sinistre durant la période de location.

Le bailleur peut également souscrire une assurance incendie avec abandon de recours contre les locataires.

Cette clause représente une forme de sécurité pour le bailleur. En effet, cela signifie que le bailleur et sa compagnie d’assurance auprès du locataire qui serait potentiellement mal assuré.

Le coût de cette surprime, peut être mis à charge des locataires.

Confier la gestion de votre bien à Contigo Immo 

Un sinistre, de petite ou grande ampleur, au sein d’un bien immobilier est forcément source de tracas : en effet, la gestion de démarches administratives va forcément demander du temps, de l’énergie… et, en tant que partie prenante du dossier, il peut parfois être ardu de garder la tête froide et les idées claires tout au long du processus. Pour louer en tout sérénité, faites appel à Contigo.Immo, votre spécialiste de la gestion locative.

Nous vous représentons tout au long de la procédure, depuis la constitution du dossier à remettre à votre compagnie d’assurances au suivi de l’exécution des travaux, en passant par la communication avec vos locataires. Pour ce faire, nous disposons d’une ligne téléphonique accessible 24h/24 et sept jours sur sept afin que vos locataires puissent facilement nous contacter pour déclarer le sinistre.

En somme, faire appel à Contigo.Immo, c’est l’assurance de louer en tout sérénité. Pour en savoir plus sur notre manière de travailler, spécialement lorsqu’un bien loué a été endommagé, rendez-vous ici. Et si vous êtes déjà convaincus, contactez-nous ici.

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Quelles perspectives pour le marché immobilier en 2023 ?

Longtemps, l’immobilier a représenté une valeur sûre pour tout investisseur désireux de rentabiliser son placement. A tel point que le marché était véritablement à son apogée depuis plusieurs années. En cause : des taux exceptionnellement bas combinés à une épargne de moins en moins rentable et des offres de placements, on ne peut plus incertaines.

Dès lors, l’investissement « dans la brique » représentait une source solide de revenus en cas de location ou, a minima, la garantie, pour son acquéreur, de voir son acquisition prendre de la valeur au fil du temps.  Est-ce toujours le cas en 2023 ? Quels sont les conseils des professionnels pour investir intelligemment dans l’immobilier et profiter d’un rendement adéquat ? Analyse par Contigo Immo.

Le marché immobilier en 2023

Si le confinement décrété en mars 2020 avait de nouveau fait rêver les Belges à la villa quatre façades entourée d’une incontournable (et pour beaucoup non négociable) parcelle de jardin vert à la taille imposante, l’espoir fut de courte durée pour beaucoup tant le marché immobilier s’est crispé ces derniers mois. La raison est simple : une succession de crises liées à la situation géopolitique, à l’énergie et à la question climatique, qui en ont refroidi plus d’un.

Deux ans à peine ont passé depuis le début de la crise sanitaire que déjà, les taux d’intérêt repartaient à la hausse (+ 2% en 2022) avant d’atteindre des taux élevés, toujours en augmentation en 2023. En début d’année, Koen De Leus, chef économiste de BNP Paribas Fortis, confiait d’ailleurs aux journalistes de L’Echo que la tendance à la hausse se maintiendrait durant les premiers mois en 2023. Avec un effet évident sur les taux des crédits hypothécaires.

En conséquence, les locataires qui rêvaient d’enfin devenir propriétaires d’une grande maison unifamiliale ou d’un appartement en ville préfèrent postposer leur projet d’acquisition. Certains renoncent même purement et simplement à acheter : alors que certains ne peuvent simplement pas se permettre d’investir dans un bien immobilier, d’autres apprécient la flexibilité qu’offre une location, par rapport à l’achat d’un bien immobilier. Quelles que soient les motivations à l’origine de leur choix, les décisions des locataires de renouveler leur bail ont pour effet de doper le marché de la location…

Des propriétaires heureux pour autant ? Pas nécessairement ! En effet, puisque les taux d’intérêt sont plus élevés d’au moins 2% par rapport aux années précédentes, le loyer mensuel net fixé pour la location ne suffit plus toujours à rembourser les intérêts de leur emprunt hypothécaire. En outre, ils doivent désormais assumer le prix des éventuelles rénovations de leur logement pour le rendre conforme aux nouvelles exigences en matière de performances énergétiques des bâtiments, au risque de ne pas pouvoir indexer leur loyer. Ce qui a pour conséquence de pousser certains investisseurs à réévaluer certains placements obligataires face aux investissements immobiliers.

Investir dans l’immobilier en 2023

Locataires refroidis par l’achat, investisseurs qui évaluent les différentes options à leur disposition pour se lancer dans des investissements rentables et les plus sûrs possible… Les acheteurs se font, in fine, de plus en plus rares. Ce qui laisse entrevoir un ralentissement de la croissance des prix de l’immobilier et très certainement un retour à un rapport entre l’offre et la demande plus équilibré qu’auparavant, avec la possibilité pour les candidats acheteurs de négocier des prix à la baisse.

Une éclaircie durable ? Les chiffres confirment en tout cas la tendance à une amélioration de la situation du côté du marché immobilier. Pour preuve, alors que Koen De Leus évoque déjà une stabilisation des taux pour 2024, les statistiques établies par la société Smartblock, spécialisée dans les données immobilières, confirment que « le rendement brut moyen d’un investissement immobilier a grappillé 0,17% entre janvier 2022 et janvier 2023, passant de 4,47% à 4,64% en moyenne en Belgique sur l’ensemble du marché ». L’immobilier redeviendrait donc à nouveau un investissement attractif !

Confier votre achat à Contigo Immo

L’immobilier redeviendrait donc au fil des mois un placement sûr. Alors pourquoi ne pas évaluer ensemble les opportunités offertes par le marché pour vos placements ? Avec ses nombreuses années d’expérience dans le secteur, Contigo Immo se positionne aujourd’hui comme l’allié des investisseurs désireux de faire de leur acquisition immobilière un atout durable.

Nous disposons d’un service d’accompagnement solide qui saura vous conseiller sur les biens qui valent vraiment la peine de s’y intéresser. Une collaboration entre l’acquéreur et notre bureau qui se poursuit bien au-delà de l’acquisition d’un bien, nous proposons également un service de gestion locative qui vous garantit de louer votre bien en toute sérénité. Pour en savoir plus sur notre manière de travailler, rendez-vous ici. Et si vous êtes déjà convaincus, contactez-nous ici.

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Indexation des loyers et PEB à Bruxelles

Véritable bouffée d’air frais pour certains ou casse-tête pour d’autres, les nouvelles règles d’indexation des loyers en fonction du score PEB du bien immobilier ont fait parler d’elles depuis leur mise en place fin 2022. Vous êtes propriétaire d’un bien immobilier situé à Bruxelles et vous désirez le mettre en location ? Votre bien est déjà occupé, mais vous aimeriez en indexer le loyer ? Contigo Immo vous rappelle comment fonctionne ce nouveau système d’indexation, les objectifs qu’il poursuit et surtout, les conditions de sa mise en œuvre.

Le PEB, c’est quoi ?

Avant tout, il convient de comprendre exactement en quoi consiste la notion de « résultat PEB ». Comme le rappelle Sibelga, le PEB évalue la performance énergétique d’un bâtiment. Isolation, qualité des châssis, ventilation, système de chauffage, présence ou non d’éléments permettant de produire de l’énergie renouvelable au sein de l’habitation… Chacun de ces éléments est minutieusement audité par des experts PEB indépendants afin d’obtenir un certificat mentionnant une note, la plus objective possible, allant de la lettre A, le meilleur score, à la lettre G, le résultat le moins bon, selon que le bâtiment est peu ou très énergivore.

Si la certification PEB était déjà indispensable pour tout propriétaire désireux de mettre en vente ou en location un bien immobilier, elle servira désormais également d’échelle pour indexer (ou non) le revenu locatif d’une habitation et, dans le cas où une indexation serait possible, indiquera de combien le montant mensuel pourra être augmenté.

Une mesure forte qui poursuit un double objectif : permettre aux ménages fragilisés de faire face à l’augmentation des factures en profitant de logements performants d’un point de vue énergétique d’une part et, d’autre part, accélérer la rénovation énergétique des bâtiments dans le pays.

Pourquoi indexer un loyer ?

Il n’est pas rare de rencontrer des bailleurs qui omettent d’indexer périodiquement les loyers de leurs locataires. Une possibilité qui leur est pourtant offerte afin d’aligner les montants locatifs à l’évolution du coût de la vie et à celle des frais qui restent à leur charge, en tant que propriétaires. Mais comment procéder en fonction des nouvelles règlementations PEB ?

Je suis propriétaire d’un bien à Bruxelles. Comment fonctionne l’indexation des loyers selon le score PEB ?

Le site notaire.be répertorie les conditions d’indexation des loyers en fonction du score PEB pour les bâtiments de la région bruxelloise. Concrètement, depuis le 14 octobre 2022 et jusqu’au 13 octobre 2023, si votre bâtiment obtient une note A (le meilleur résultat), B, C ou D, vous pouvez augmenter votre loyer à raison de 100 % de l’index et ce pour une durée de douze mois à partir de la date de mise en vigueur de l’augmentation.

En revanche, si votre bien n’obtient que le niveau E, l’indexation appliquée ne pourra l’être qu’à hauteur de 50 %. Dans le premier cas comme dans le second, l’augmentation n’est possible que dans le cas où le bail a été correctement enregistré.

Pour les bâtiments qui obtiendraient une note inférieure, à savoir F ou G, ou pour les biens immobiliers qui ne disposeraient pas de certification PEB, aucune indexation de loyer ne sera possible pour le moment.

Qu’en est-il de l’indexation des loyers en Wallonie et en Flandre ?

Une situation quelque peu différente en Wallonie et en Flandre puisque les deux régions n’appliquent pas la règlementation de la même manière. Ainsi, un bâtiment noté D en Région wallonne pourra être indexé à hauteur de 75 % tandis qu’un bien ayant obtenu le même score en Flandre ne pourra être augmenté qu’à hauteur de 50 %. De même, un bâtiment ayant obtenu la note E en Wallonie pourra tout de même bénéficier d’une indexation de loyer de 50 %, là où la Flandre n’autorise actuellement aucune augmentation.

Une différence régionale qui fait grincer quelques dents, d’autant que les échelles de performance énergétique varient d’une région à l’autre (une évaluation PEB notée C en Wallonie ou en Flandre n’est pas nécessairement équivalente à un résultat PEB de niveau C à Bruxelles).

Plus étonnant encore : selon une enquête menée par les journalistes de la RTBF, un même bâtiment aurait obtenu des notes différentes selon l’expert présent sur place. Une situation abracadabrante qui a de quoi laisser certains propriétaires perplexes, voire frustrés ou en colère…

Conseils aux propriétaires

Pour obtenir la note la plus objective possible et ainsi un résultat révélateur de la qualité du bien que vous souhaitiez vendre ou louer, conservez précieusement toutes les factures et photos des travaux de rénovation que vous entreprenez afin de pouvoir fournir, à l’expert qui viendra auditer votre logement, toutes les preuves nécessaires à l’élaboration du dossier.

Pour retrouver la liste des auditeurs PEB agréés en région bruxelloise, rendez-vous notamment sur le site Environnement.brussels.

Une gestion facilitée grâce à Contigo Immo

L’exemple du PEB est parlant : la mise en location d’un bien immobilier demande aux propriétaires de se tenir régulièrement informés de l’évolution de la législation. Une activité chronophage qui s‘additionne aux autres tâches qui leur incombent afin de proposer à leurs locataires un bien de qualité. Pour vous aider, Contigo, le spécialiste de la gestion locative immobilière à Bruxelles et en périphérie, vous aide à travers toutes les étapes de la mise en location d’un bien, depuis la rédaction du bail, jusqu’à l’accompagnement des locataires, en passant par la gestion au jour le jour de la comptabilité.

Parce que nous nous tenons régulièrement informés de l’évolution des règlementations, nous sommes en mesure de vous apporter de judicieux conseils pour louer votre bien en toute sérénité. Vous souhaitez nous rencontrer pour en discuter ? Rendez-vous ici.

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5 astuces pour vendre sa maison vite et bien !

Tous les vendeurs vous le diront : une fois que la décision de mettre en vente un bien immobilier a été prise, tous ont espéré vendre vite et bien. Mais comment faire pour s’assurer de parvenir à ses fins dans un délai raisonnable et pour un prix juste ? De nombreuses techniques existent pour vous aider à mettre votre habitation en valeur préalablement à sa mise en vente. Focus sur quelques bonnes pratiques avant de se lancer. 

Astuce n°1 : vendez au prix juste 

Il est tout à fait normal d’avoir en tête une estimation chiffrée de son bien immobilier ou au moins une idée de la somme que l’on souhaiterait recevoir une fois la vente conclue. Encore faut-il que cette valeur soit correctement estimée ! Un vendeur mal renseigné peut se bloquer sur une estimation fausse. Résultat : le bâtiment peine à se vendre. Or, un bien immobilier qui reste longtemps sur le marché finit forcément par coûter à son propriétaire : une maison sous-évaluée fera forcément perdre de l’argent au vendeur ; une maison dont le prix de vente est surévalué prendra plus de temps à se vendre, alors qu’elle continue de générer des frais. Par ailleurs, dans un marché où les biens intéressants ont tendance à être vendus rapidement, une maison qui reste en vente trop longtemps peut éveiller les soupçons des potentiels acheteurs. N’hésitez donc jamais à faire estimer votre bien immobilier par un professionnel du secteur qui saura fixer un bon prix et vous en expliquer les raisons.

Astuce n°2 : rassemblez les documents administratifs nécessaires

Avant de mettre en vente un bien immobilier, il s’agit de rassembler l’ensemble des documents administratifs nécessaires à la procédure. Le site des notaires de Belgique nous en livre la liste détaillée. En tant que vendeur, vous aurez notamment besoin…

  • D’un titre de propriété, soit l’acte notarié d’achat qui décrit le bien en détails et atteste que vous en êtes bien le propriétaire.
  • Des renseignements urbanistiques concernant le bien que vous souhaitez vendre.
  • Une attestation de sol qui confirme que le sol de l’habitation n’est pas pollué.
  • D’un certificat énergétique du bâtiment. Obtenu auprès d’un certificateur agréé, il renseigne les acheteurs intéressés sur les performances énergétiques du bien. Vous devez également obtenir un certificat attestant d’un contrôle électrique de l’habitation. S’il y a une citerne à mazout dans le bâtiment, vous devez pouvoir fournir un document certifiant le contrôle et la mise en conformité de la citerne.
  • Du dossier d’intervention ultérieure (DIU) qui compile l’ensemble des travaux réalisés depuis 2001 au sein de la maison que vous souhaitez vendre. Pensez donc à conserver les plans, les factures, les fiches techniques, … des travaux que vous entreprenez et surtout, tenez soigneusement votre DIU à jour.

Selon la région dans laquelle votre bien est situé, des attestations supplémentaires ou des informations complémentaires peuvent être demandées. De même, si votre bien est en copropriété ou s’il s’agit d’un bâtiment en location, des mesures spécifiques peuvent s’appliquer. N’hésitez donc pas à vous renseigner auprès d’un professionnel avant d’entreprendre une démarche de vente.

Astuce n°3 : préparez la maison à être vendue

Une fois le prix de vente correctement estimé et les différents documents rassemblés, il s’agit de donner envie aux potentiels acquéreurs de découvrir la maison. Pour cela, rien de tel que de mettre votre bien immobilier en beauté !

Une maison bien entretenue à visiter

La démarche d’embellissement de votre bien immobilier commence évidemment par un nettoyage, une aération et un rangement complet de l’habitation. Rien de pire pour des visiteurs que de découvrir un bien qui semble laissé à l’abandon.

Mettre son bien immobilier en valeur, oui… Cacher les défauts, sûrement pas !

Tenter plus ou moins habilement de masquer les défauts de votre habitation, c’est la meilleure solution pour perdre la confiance d’un acheteur ! Alors, plutôt que d’essayer de cacher d’éventuelles misères, mettez plutôt l’accent sur les atouts incontestables du bâtiment, comme le nombre de mètres carré, la luminosité des pièces de vie, le nombre de chambres aménagées ou aménageables, la présence d’un espace extérieur… Concernant les petits défauts de la maison, trouvez la meilleure manière de les contourner. Votre chaudière est en fin de vie ? La toiture mériterait un petit coup de propre ? En prévision des visites, n’hésitez pas à demander des devis pour ces travaux qui permettront aux potentiels acquéreurs de se projeter plus facilement.

Place aux petits travaux de réparation

Une porte qui ne se ferme plus correctement ? Une vitre brisée ? Un interrupteur qui ne fonctionne pas ? Un robinet qui fuit ? Autant d’éléments qui peuvent refroidir un acheteur. En réparant ces petits défauts dus à l’usure, le vendeur permet que la visite se déroule sans couac ou mauvaise surprise.

Pensez au « Home staging »

On le sait, la première impression laisse toujours un souvenir marquant. Alors autant que celle-ci soit la meilleure possible. Peinture, débroussaillage du jardin, réaménagement de certaines pièces : pour attirer l’attention des potentiels acheteurs dès leur entrée, il faudra aménager le bien pour le dépersonnaliser et y placer quelques éléments très à la mode qui vont marquer l’œil des visiteurs. Dans le cas où la maison serait vide, faites appel à votre entourage pour replacer quelques meubles afin que les visiteurs puissent se projeter en attribuant clairement une fonction à chaque pièce.

Astuce n°4 : anticipez les visites de la maison

Que vous vendiez seul.e ou accompagné.e d’un professionnel, vous pouvez préparer les visites pour qu’elles soient efficaces et qu’une perspective de vente se profile rapidement. N’hésitez pas à organiser les rendez-vous au moment où votre habitation est la mieux mise en valeur. Vous pouvez également prévoir un itinéraire de visite pour que vos futurs acheteurs comprennent instantanément comment les pièces de la maison sont organisées. Et pour marquer les esprits, terminez avec la remise d’un dossier récapitulatif mettant en lumière les points forts du bien, ainsi que quelques photos.

Astuce n°5 : profitez de l’expertise d’une agence immobilière

La vente d’un bien immobilier, c’est un vrai métier ! S’il est évidemment toujours possible de se lancer dans l’aventure en solo, les vendeurs sont souvent confrontés à des démarches administratives complexes et à un marché qu’ils connaissent peu. Sans parler de l’aspect émotionnel qui surprend parfois les intéressés en cours de route. Alors pour éviter de vous décourager, faites-vous accompagner à travers tout le processus de vente par un professionnel.

Pourquoi se faire aider par une agence immobilière ? Notamment parce qu’elle pourra se charger, pour vous, de nombreuses démarches. Parce qu’elle connaît le marché immobilier sur le bout des doigts, l’agence peut correctement estimer la valeur de votre bien. Une fois le prix fixé avec votre accord, le professionnel s’assure de rédiger une annonce attrayante pour votre maison et de produire des clichés qui mettent en valeur votre bien et donnent envie aux visiteurs de le découvrir. L’agence s’occupe également de gérer les visites, souvent plus nombreuses grace à son réseau, et de trouver l’acquéreur idéal pour la maison. En bref, faire appel à une agence immobilière, c’est l’assurance de travailler avec un partenaire qui a le même objectif que vous : vendre vite et bien !

Convaincu.e ? Confiez votre projet à l’un de nos conseillers en immobilier. Contactez-nous sans attendre !

 

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Louer son bien immobilier : 9 questions à se poser

Vous avez décidé de mettre votre bien en location. Quelles sont les actions à entreprendre pour être légalement à jour ? Voici 9 questions à se poser.

1.    Mon bien est-il aux normes ?

Avant de mettre votre bien en location, vérifiez que celui-ci réponde à des normes et à des exigences minimales :

  • Sécurité : l’électricité, le gaz ou encore le chauffage doivent être aux normes
  • Salubrité : les traces d’humidité ou la présence de nuisibles doivent être traitées en conséquence
  • Équipement minimal : le logement doit disposer d’un accès à l’eau (froide et chaude), les sanitaires et les installations électriques doivent être fonctionnels

Si une de ces exigences n’est pas encore rencontrée, vous devrez investir dans les travaux de réparation et de mise aux normes nécessaires avant de louer votre bien.

2.   Quelles informations communiquer au locataire avant la signature ?

Avant tout engagement écrit, vous devrez communiquer les informations suivantes au futur locataire :

  • Une description du logement
  • Le montant du loyer
  • L’existence ou non de compteurs individuels pour l’eau, le gaz et l’électricité
  • La liste et l’estimation des charges
  • Un certificat énergétique (PEB)
  • La présence ou non d’un syndic

Pour plus de détails, vous pouvez consulter notre article relatif aux obligations du propriétaire.

Après avoir transmis ces éléments au locataire potentiel, vous pourrez également lui demander les renseignements suivants selon la région où se situe le bien à louer.

En Région de Bruxelles-Capitale :

  • ses nom et prénom
  • un document qui prouve son identité et sa capacité à signer un contrat de bail
  • un moyen pour entrer en communication avec lui (numéro de portable, adresse courriel…)
  • le nombre de personnes qui composeront le ménage
  • le montant de ses ressources financières

La Région wallonne ajoute à cette liste une preuve de paiement des trois derniers mois de loyer.

En Région flamande, d’autres critères peuvent intervenir, comme une connaissance minimale du néerlandais (au niveau A1).

Les critères admis par chaque région constituent des limites à ne pas dépasser. Soyez donc très attentif à toute suspicion de discrimination.

3.    Quel type de bail choisir et pour quelle durée ?

Une fois votre locataire trouvé, il faudra déterminer le type de bail. Il est important de proposer un bail adapté à la situation du bailleur et du locataire. De manière classique, il existe deux types de contrat :

  • un contrat de résidence principale
  • un contrat de droit commun, si le locataire ne fait pas du bien loué sa résidence principale

Il existe également d’autres types de contrats spécifiques :

  • le bail de colocation : le bien devient la résidence principale d’un des colocataires, les autres signent un pacte de colocation
  • le bail étudiant : il est conclu pour une période de 12 mois Il peut être renouvelé aux mêmes conditions de loyer par période d’un an

Ensuite, vient la question de la durée du bail. Ici aussi, les formules sont multiples :

  • Le bail de résidence principale : 9 ans (la durée peut également varier)
  • Le bail de courte durée : 3 ans ou moins
  • Le bail de longue durée : plus de 9 ans
  • Le bail à vie
  • Le bail étudiant : toujours de 12 mois (ou 10 sous certaines conditions)

Dans tous les cas, soyez attentif au type de bail que vous proposez. La durée du bail a des conséquences sur les délais de préavis ainsi que sur les indemnités.

4.    Comment déterminer le prix du loyer ? (loyer + charges)

Demander un prix juste pour le loyer favorise la confiance entre le bailleur et le preneur, même si
le propriétaire reste le seul à décider du montant.

Le bailleur propose un montant correspondant aux charges locatives et en détaille les différents postes. Il peut également réclamer les charges sur base de frais réels ou d’un forfait.

Attention, de nouvelles réglementations concernant les baux à loyers sont d’application depuis l’automne 2022. En effet, les propriétaires de biens dont le score PEB n’atteint pas un certain niveau ne pourront plus indexer complètement le montant du bail de leur logement.

5.    Quelle garantie locative puis-je demander ?

Le bailleur peut demander le dépôt d’une garantie au locataire. Les deux formules les plus courantes sont :

  • le compte individualisé : le locataire dépose un montant équivalant à 2 mois de loyer sur un compte bloqué
  • la garantie bancaire : une institution bancaire se porte garante du montant total de la garantie qui ne peut dépasser 3 mois de loyer

6.    Quand et comment enregistrer le bail ?

Après signature par les deux parties, c’est au bailleur d’entreprendre les démarches d’enregistrement du bail. L’enregistrement du bail est gratuit pour autant qu’il soit effectué dans un délai de deux mois après la signature.

Pour ce faire, vous pouvez envoyer une copie de votre contrat de bail au centre de scanning du SPF Finances ou l’enregistrer directement en ligne via Myrent.

7.    Dois-je faire assurer mon bien ?

Il faut savoir qu’en Belgique, le propriétaire n’est pas tenu d’assurer son bien. Cependant, il est vivement conseillé de souscrire une assurance incendie, afin de se prémunir de mauvaises surprises.

Par contre, la Responsabilité Civile locative est obligatoire pour le preneur. Cette assurance couvre les dégâts qu’il aura occasionnés à votre bien.

8.    Quid de l’entretien ?

Maintenir le bien dans un état impeccable est l’affaire du propriétaire, mais également du locataire. Sur ce plan, une bonne relation entre propriétaire et locataire est importante. Vous pouvez également consulter notre guide d’une bonne relation entre propriétaire et locataire afin d’obtenir des informations complémentaires.

Concrètement, le locataire est tenu d’effectuer les travaux d’entretien afin de maintenir le bien dans un état correct. De son côté, le propriétaire doit faire faire toutes les réparations qui lui incombent. Si vous souhaitez en savoir plus, vous pouvez consulter cette liste issue du site de Bruxelles Logement.

9. Puis-je garder un double des clés ?

Garder un double des clés de son bien n’est pas interdit par la loi. Mais le propriétaire ne fait pas ce qu’il veut pour autant. En effet, vous êtes tenu de prévenir le locataire qu’un double des clés est en votre possession.

Si vous ne prévenez pas votre locataire et que vous entrez chez lui, vous commettez une violation de domicile. Pour rappel, la violation de domicile constitue un délit puni par la loi (article 226-4 du Code pénal).

Au travers de ces 9 réponses, vous aurez constaté que la mise en location de votre bien demande beaucoup de préparation, de suivi et de gestion au quotidien. Nos équipes se tiennent à votre disposition pour vous accompagner dans les différentes démarches administratives : n’hésitez pas à nous contacter.

 

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5 critères pour estimer la valeur d’un bien immobilier

Du type de bien en passant par le PEB jusqu’à l’état général du bien. Découvrez tous les critères qui influent sur l’estimation de votre bien immobilier.

Quels critères impactent la valeur d’un bien immobilier ?

Actuellement, il existe beaucoup de critères qui peuvent influencer la valeur d’un bien immobilier. Certains sont évidents, d’autres le sont moins. Nous vous donnons quelques clés afin d’appréhender les différents éléments qui influent sur l’estimation du prix de votre bien.

Les caractéristiques de votre bien

Le type d’habitation

Le premier critère peut sembler anodin, mais il ne l’est pas. Le type de votre habitation influe sur le prix. Que vous souhaitiez vendre un appartement, une maison mitoyenne (2 ou 3 façades) ou une villa, l’estimation de votre bien ne sera pas la même.

Le prix au m2

Dans certaines émissions télévisées, on en revient toujours au même critère : le prix au m2. Il faut être conscient que la répartition des m2 est tout aussi importante. Il faut pouvoir exploiter tous les m2 du bien. Des espaces “perdus” dans l’habitation peuvent faire baisser le prix de l’estimation. A ce propos, il convient de distinguer les surfaces habitables brute et nette :

  • la surface habitable brute comprend le total en m2 des pièces d’habitation, en ce compris les cloisons, les murs de séparation, les murs de façade et la moitié des murs mitoyens ;
  • la surface habitable nette ne couvre que les m2 que l’on peut réellement habiter, ce qui exclut par exemple l’épaisseur des murs et les cages d’escalier.

La qualité du bien

Et enfin, la qualité de votre bien. Qu’est-ce que l’on entend par qualité ? Il s’agit d’un ensemble de critères qui comprennent l’exposition, l’isolation, la qualité des matériaux utilisés, l’année de construction ou encore la présence ou non d’un jardin.

Une fois que tous les éléments permettant d’évaluer votre bien ont été pris en compte, il est temps de s’attarder sur la localisation du bien en question.

Le quartier et l’environnement du bien

Dans chaque ville ou village, il y a des quartiers qui valent plus cher que d’autres. L’environnement du bien a donc une réelle influence sur le prix de mise en vente.

Des biens avec des facilités comme des commerces aux alentours attireront davantage les acquéreurs potentiels. La proximité des écoles ou des transports en commun est un atout qui peut faire mouche auprès de futurs acquéreurs.

Le marché immobilier local

Lorsqu’on décide de mettre son bien en vente, un bon réflexe consiste à regarder comment se positionnent les autres biens dans votre secteur. Vous pourrez déjà vous faire une première idée d’estimation.

Un autre bon réflexe à avoir est de définir les atouts de votre bien par rapport aux autres biens mis en vente dans le secteur. Comparer c’est toujours gagner. Ainsi, vous aurez des arguments concurrentiels à offrir aux personnes intéressées par votre bien.

La performance énergétique

Dans le secteur de l’immobilier, le critère de la performance énergétique est devenu crucial. C’est l’un des critères, voire le seul, pris en compte par de potentiels acquéreurs ou locataires.

En effet, le certificat PEB est en quelque sorte la carte d’identité énergétique de votre bâtiment. Un bon score va permettre de vous différencier des autres, mais également apporter un certain gage de qualité à votre bien.

Du point de vue de l’acquéreur, l’indice de performance énergétique mentionné sur le certificat PEB peut s’avérer déterminant pour l’octroi ou non d’un crédit hypothécaire.

L’état général du bien

Il s’agit du dernier critère qui permet d’estimer la valeur de votre bien immobilier. Un bien correctement entretenu attira l’œil des candidats acquéreurs. A l’opposé, un bien laissé “dans son jus” mettra déjà une distance entre votre bien et les visiteurs.

Comment évaluez-vous, vous-même, la valeur de votre maison ?

Voici quelques conseils pour vous aider à estimer, seul, de la valeur de votre bien :

  • ne vous focalisez pas sur le prix d’achat de la maison ;
  • mettez de côté l’affectif et l’émotionnel dans le calcul du prix de vente ;
  • informez-vous sur les prix du marché ;
  • identifiez toutes les caractéristiques de la maison ;
  • estimez les travaux de rénovation ;
  • soyez honnêtes.

Qui peut vous aider à évaluer le prix de votre maison ?

Connaître les critères qui influent sur l’estimation de la valeur du bien immobilier est important. Savoir vers qui se tourner l’est tout autant. Vous pouvez faire appel à différents acteurs du secteur immobilier. Que ce soit une agence, un géomètre ou même un expert, tous seront en mesure de vous remettre une première estimation de votre bien.

Une agence

Une agence immobilière est l’option la plus répandue. Vous pouvez faire appel à n’importe quelle agence. Cependant, privilégiez une agence de votre secteur, de votre quartier. Elle vous remettra une estimation plus réaliste, en fonction de la situation géographique de votre bien. Si vous le souhaitez, vous avez la possibilité de contacter nos équipes directement pour un accompagnement.

Un géomètre

Le géomètre expert tient compte d’un certain nombre de points pour l’évaluation. Outre la situation du marché et l’emplacement de la maison, il examine également la surface, l’isolation, l’efficacité énergétique, les installations à proximité, le plan de zonage et le type de matériaux de l’habitation.

Un expert

L’expert immobilier détermine la valeur de votre bien avec un regard neutre. Il étudie les qualités et les défauts de votre bien immobilier pour en fixer la valeur vénale. Il réalise également une étude comparative du marché dans votre ville ou votre quartier, en se basant sur les biens récemment vendus ou actuellement en vente.

Les moyens à disposition pour évaluer le prix de son bien immobilier

Il existe des comparateurs sur internet qui pourront vous donner une fourchette de prix. Mais le plus souvent, ces estimations en ligne ne reflètent pas la réalité du terrain. Une mauvaise estimation de départ peut entraîner une vente plus difficile. Il est donc important d’obtenir un prix juste.

Si l’estimation propose un montant trop éloigné de la réalité, cela peut avoir deux conséquences. Premièrement, si l’estimation est trop haute, votre bien risque d’être « grillé » sur le marché et mettra dès lors plus longtemps à se vendre. Deuxièmement, si l’estimation est trop faible, vous allez perdre de l’argent. C’est pour cela qu’une agence va vous permettre d’optimiser le prix de vente de votre bien. Son expertise et ses outils sauront vous aiguiller au mieux.

Pour obtenir l’expertise immobilière de Contigo, vous pouvez toujours contacter nos équipes pour plus d’informations. Nos conseillers se tiennent à votre disposition pour répondre à toutes vos questions.

 

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